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Carnet de Voyage de Alvra Malrouth
Ancien Paysan
Races
:
Humain
Rang
:
Métamorphe
Âge
:
35
Niveau RPG
:
(50/50)
Particuliarité
:
Selon son bon vouloir.
Physique
:
Lorsqu’il était encore un homme, il était assez grand, brun, les yeux marrons. Il était assez maigre, cela s’explique par le fait que les terres n’étaient pas très fertiles. Il possédait aussi une énorme cicatrice sur le bras gauche, qu’il s’était fait après un accident. Mais tout cela est du passé désormais
Moral
:
Alvra était d’un naturel optimiste mais prompt à la nostalgie. Cependant après sa prise de conscience, il a acquit une personnalité extrêmement complexe, parfois contradictoire. Cependant, il est possible d’isoler certaines caractéristiques. Il est totalement imprévisible et la plupart du temps il ne prend pas part aux conflits. Autre caractéristique importante, il aime tous les êtres d’un amour inconditionnel, même l’être le plus malfaisant. Cela s’explique par le fait qu’il est le plus apte à les comprendre. Et dernier fait, il n’utilise plus son nom, considérant que celui-ci n’évolue pas, il préfère donc changer à chaque fois.
Pouvoirs - Dons
:
Métamorphe
Histoire
:
Alvra était un homme avant. Il travaillait la terre, moissonné le blé et planté les récoltes. Mais il était las de cette vie. Il quitta sa famille, sur un coup de tête, ne sachant où aller, mais mué par le désir de découvrir. « Ils bloquent mon horizon ». Il erra sur d’innombrables terres pendant une année, se nourrissant de baies et buvant dans les rivières. Mais un jour de grande fatigue, il se refugia au cœur d’une forêt. Le chant des oiseaux le berça et il fut pris d’une effroyable nostalgie. « Pourquoi ne suis que moi ? Où est donc la magie de vivre ? » Il pleura à chaudes larmes, la douleur étreignant son cœur sans savoir vraiment pourquoi. « Il n’y a jamais eu de la magie, juste un triste quotidien » Où qu’il allait, ses sentiments le suivait, l’empêchait de prendre plaisir à ce qu’il vivait. Cette nostalgie le gangrenait, il voulait tellement que cela cesse. Il finit de pleurer, il s’essuya les yeux et alla s’adosser à un arbre. Assis là, au cœur d’un immense enchevêtrement de vies, il s’endormit. « Je ne sais si je dormais ou j’étais conscient mais le résultat est tel que ma vie fut bouleversée. Je compris des vérités que moi seul connaît désormais. Je pris conscience que le corps entravé l’esprit, et que celui-ci ne pouvait s’épanouir tant que le corps ne le désirait pas. Mais mon esprit possède sa propre religion, le Changement, et mon corps l’accepta. Il changea pour satisfaire les caprices de mon esprit. Cette osmose m’ému. » Alvra se réveilla, prenant conscience de quelque chose de différent. Une sensation, vague, tout son corps bouillait de devenir « autre chose », n’importe quoi mais quelque chose qu’il ne connaissait pas encore. Alvra devint elfe, puis nain, il devint femme puis retrouva les sensations d’un corps d’enfant. Il passa d’un corps à l’autre, découvrant des cotés de sa personnalité qui ne connaissaient pas. « Je ne suis pas devenu fou, et j’ai toujours été seul dans mon corps mais à chaque changement, de nouvelles émotions m’apparaissaient, de nouvelles sensations. Qui n’a jamais rêvé de savoir quelles étaient les sensations d’un corps de femme alors qu’on est homme ? J’ai juste découvert mes « autres cotés » comme si ils avaient toujours été là. » La notion même de races et d’apparences disparut de son esprit. Pendant une année, il incarna le changement continuel, il changea de formes encore et encore, des manteaux comme il les appelait. Il se recouvrait d’un nouveau corps mais restait-le même en dessous. « Je suis juste le Noyau de ce changement, la seule chose qui ne change pas » Après cette formidable expérience, il décida qu’il était temps de retourner dans le monde des hommes. Il prit la forme d’un oiseau et s’envola. « J’ai toujours rêvé de voler. » Il vola au dessus les terres des hommes pendant une autre année, découvrant avec joie d’autres traditions, d’autres manières de vivre. Se construisant lui-même à chaque découverte. Sa soif de connaissances était toujours inassouvie, il se tourna vers les elfes. Il vola vers Celàndir, capitale elfique. Il se posa sur une branche, pour les observer. Pendant encore deux autres années, il se contenta de les observer, ne quittant pas un instant sa branche. « Puis j’eu envie de me mêler à eux... »
Animal
: